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Il me reste nos souvenirs enfouis
Ceux de notre alcôve , de notre nid,
De la douceur de nos draps de soie
Qui transportaient nos émois ….
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*** Idéelle, le 21 novembre 2017 ***
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Il me reste nos souvenirs enfouis
Ceux de notre alcôve , de notre nid,
De la douceur de nos draps de soie
Qui transportaient nos émois ….
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*** Idéelle, le 21 novembre 2017 ***
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Milles Mercis Pierretre ❣️🙏🏻
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Ah zut! les draps sont défaits?
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Et heureusement !
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Délicieusement beau…
Douce soirée ideelle !
🙂
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Sincèrement Touchée 🙏🏻 Merci Fanfan
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Accident de transport
Glissade autour du paysage, le soleil au zénith s’est recouvert d’un tapis de brume. Tombé au nadir le point culminant est affalé dans sa propre vapeur. Le souvenir se parfume de cendres qui le refroidissent au passé. Le transport est en train de mourir d’ennui. La route bute à l’immobile d’une glaciation paralysante. Tombant comme une lame tranchante, il semble que l’abandon cherche à faire passer sa reconnaissance. Jet de l’éponge sur ce qui respire mal dans le présent. Si c’est cette destination que la voie aspire, sans oser le dire, je dois chercher dans les toiles la lumière significative. Passer par l’éclipse, corriger la promesse, la remettre à jour, en en dégageant la peau qui pourrait être morte, sans jouer aveuglement avec l’ivresse d’un mirage. Toute ‘impression contient sa part d’erreur, l’absence de certitude appelle à gratter la couche du dessus. Qu’y-a-il sous le lit de feuilles, une plante qui continue à vouloir sortir ou un faux-bois qui y ressemble sans la sève ? Donner la vie demeure, pas le faux-semblant d’un atome d’auto-satisfaction orgueilleuse. Je dois rester droit dans mon tain.
Niala-Loisobleu – 21 Novembre 2017
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Il ne faut jamais, jamais, négliger la force du rêve
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