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Toi qui porte en ton sein le Feu Sacré
Sans craindre d’enfin pouvoir Aimer
Toi qui sait comment entretenir la Flamme
Que toujours vivent les secrets de ton Âme !
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*** Idéelle, le 30 août 2017 ***
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Toi qui porte en ton sein le Feu Sacré
Sans craindre d’enfin pouvoir Aimer
Toi qui sait comment entretenir la Flamme
Que toujours vivent les secrets de ton Âme !
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*** Idéelle, le 30 août 2017 ***
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Ce poème fort bien tourné me fait penser à l’Amour passionné de Roméo et Juliette ou celui de Philémon et Baucis.
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Merci Yann 😊 je voulais effectivement rendre hommage à la passion, aux passions …
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😍
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Cette petite flamme qui parfois semble s’éloigner est toujours présente lorsqu’on la cherche avec les yeux de l’âme.
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C’est là qu’elle vit … 😊
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C’est que…l’amour n’a pas de mains…pour assoupir le feu, et monter au panier…le point… de sa petite flamme bleue, la seule qui reste au ciel, éternelle.
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Non, l’Amour n’a pas de main, il n’en a pas besoin, sa puissance soulève des montagnes … 😊
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Tu comprends même quand j’explique mal! C’est…fou…
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😉
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Joli. Moi qui suis (à peu près) incapable d’écrire de la poésie, mais qui aime la lire…
La rime, y’a pas photo!
😉
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🙏🏻 merci beaucoup Brieuc ! Je suis moi aussi à peu près incapable d’écrire de la poésie, mais j’aime gribouiller et coucher sur papier mes pensées … et je suis ravie quand leur écho arrive jusqu’aux autres, jusqu’à l’échange 😊
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« Incapable »? Ça n’a pas l’air. Le résultat est là.
🙂
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Encore Merci 🙏🏻
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I like it 😊
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Thanks 🙏🏻
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Ainsi Reste de ce qui passe
Ce qui ne peut que n’Etre
N–L
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La Flamme Sédentaire
Précipitons la rotation des astres et les lésions de l’univers.
Mais pourquoi la joie et pourquoi la douleur ?
Lorsque nous parvenons face à la montagne frontale, surgissent minuscules vêtus de soleil et d’eau, ceux dont nous disons qu’ils sont des dieux, expression la moins opaque de
nous-mêmes.
Nous n’aurons pas à les civiliser.
Nous les fêterons seulement, au plus près ; leur logis étant dans une flamme, notre flamme sédentaire.
René Char
Ainsi-choix-t-il
le panier ne tiendra pas prisonnier
mais libre
N-L – 30/08/17
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Ce poème m’a fait penser, instinctivement, à Frida et Diego ….
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Je te suis dans cette image pour ce qu’elle contient de pérenne dans l’intemporel que le Sacré dépasse. Très émouvante ta pensée mon Idéelle. Là vois-tu, je suis devant la maison Bleue. Nous venons d’oublier le tragique tramway. Quelque chose de frais respire❤️👄❤️
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😘
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Sans changer son extérieur, la nuit s’allume
un feu d’Ailleurs
Quel soleil sacré à l’intérieur !
N-L
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D’évidence les Pablo, René, Paul et autres
Amadéo…
et, et, et, et….
du feu sacré
Vincent
gardent l’inextinguible
au point
qu’en toute humilité
me suis enflammé à leur âme
pour demeurer amadou
à ma Muse
N-L – 30/08/17
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😊
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Le feu Sacré brûle la langue superlative, laissant à sa braise la concision du Tout.
❤️😍❤️
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