Monsieur Mon Professeur … 

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Monsieur, Monsieur !
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Monsieur, Monsieur, un grand merci

D’avoir laissé entrer dans nos vies

Des lettres et des mots la mélodie,

Et la magie de la poésie … 
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Monsieur, Monsieur, ils vont nous manquer 

Les dessins du petit dejeuner

Ainsi que le jeu du cadavre exquis

Et tout ce qui suit … 

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Monsieur, Monsieur, ne changez rien

Aux rythmes, aux gestes de vos mains

Qui, vous le savez, nous ont bien amusés,

Nous en garderons un souvenir enchanté. 

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Monsieur, Monsieur, hélas c’est déjà fini

Et c’est maintenant l’heure des mercis,

Des aurevoirs et à bientôt 

Vous resterez dans nos petit cerveaux …
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*** Line, le 16 décembre 2016 ***
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28 réflexions sur “Monsieur Mon Professeur … ”

  5. BonjourIDELLE

    Dans un cadre chaleureux
    L’Amitié est une maison
    Accueillante et agréable
    Il suffit d’ouvrir la porte de son cœur
    Pour offrir le meilleur de soi-même
    Je te souhaite une bonne journée

    Une belle semaine

    Gros bisous

    Une rose d’amitié à t’offrir

    ​

    Bernard

    ​

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  6. Madame, Monsieur, chère Line,

    Je voulais tout d’abord vous témoigner ma profonde gratitude quand au beau cadeau que vous m’avez fait, et qui va venir accompagner mes soirées au coin de la cheminée. Je ne manquerai pas de me pencher sur la poésie de Guy Allix qu’il me tarde de lire.

    Je voulais aussi dire quelle a été mon émotion face à ces quelques vers qui me sont dédiés. Merci Line pour ce beau texte ! Je peux t’assurer qu’il me suivra partout, tout au long de ma carrière pour lutter contre les moments de doute.

    J’ai été enrichi par ta rencontre et celle des tes camarades.

    La poésie est fondamentale pour comprendre la littérature et plus largement le monde des arts. Elle transcrit, inverse, renverse et parfois même transperce pour dire le vrai. Elle révèle notre monde en le recomposant, nous l’explique, le rend moins absurde, et donc plus acceptable. Merci donc à vous de faire vivre la poésie en famille grâce à ce blog !

    Permettez-moi, à mon tour, de vous dédier un texte qui n’est pas de moi, mais de Renaud, un poète que j’aime par dessus tout :

    Il me semble que tout est dit…

    Merci pour vos pensées chaleureuses qui me vont droit au cœur, et à bientôt (j’ose l’espérer) dans une salle de classe ou ailleurs.

    A.V.

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    • Bon Jour et merci beaucoup pour votre réponse. Nouvelle surprise pour moi : Line chantait en écoutant la merveilleuse chanson de Renaud que vous avez eu la gentillesse de partager avec nous. Elle ne cesse de me surprendre ! Nous avons le dernier album de Renaud à la maison, mais j’ignorais qu’elle s’y était interessée au point de connaître les paroles de cette magnifique chanson dans laquelle, vous avez parfaitement raison, TOUT EST DIT 😊
      Encore une fois, merci pour Line, merci pour Tout ! Nous vous souhaitons une bonne fin d’année et le meilleur à venir 😊

      J’aime

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    • Je ne lui ai pas encore fait écouter cette chanson, mais je pense qu’elle l’a déjà entendue, sans y preter vraiment attention dans l’instant … mais je preferais qu’elle écrive dans une autre émotion … mais perso, j’aime beaucoup 😊

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  11. Je ne me mets pas en peine

    Je ne me mets pas en peine
    Du clocher ni du beffroi ;
    Je ne sais rien de la reine,
    Et je ne sais rien du roi ;

    J’ignore, je le confesse,
    Si le seigneur est hautain,
    Si le curé dit la messe
    En grec ou bien en latin ;

    S’il faut qu’on pleure ou qu’on danse,
    Si les nids jasent entr’eux ;
    Mais sais-tu ce que je pense ?
    C’est que je suis amoureux.

    Sais-tu, Jeanne, à quoi je rêve ?
    C’est au mouvement d’oiseau
    De ton pied blanc qui se lève
    Quand tu passes le ruisseau.

    Et sais-tu ce qui me gêne ?
    C’est qu’à travers l’horizon,
    Jeanne, une invisible chaîne
    Me tire vers ta maison.

    Et sais-tu ce qui m’ennuie ?
    C’est l’air charmant et vainqueur,
    Jeanne, dont tu fais la pluie
    Et le beau temps dans mon coeur.

    Et sais-tu ce qui m’occupe,
    Jeanne ? c’est que j’aime mieux
    La moindre fleur de ta jupe
    Que tous les astres des cieux.

    Victor Hugo

    Laisse-moi poser au coeur de ta blondeur
    l’autre épi
    celui de qui naîtront bleuets, coquelicots et cadavres exquis d’autres rondes que je te souhaite nombreuses Line, petit animal dont je laisse ici le nom secret…
    Ne vois dans ce poème de Victor, que le bon souvenir, joie éternelle que l’on transporte toute sa vie avec soi de ce qui marqua, marque et marquera son passage terrestre.
    Je t’aime d’où tu viens
    je t’aime où tu vas !

    N-L – 16/12/16

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