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Monsieur Cohen,
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Ce jour n’a rien d’un Adieu … En partant Vous nous, Vous ME laissez tellement de Vous que je sais que vous serez présent demain autant que vous l’étiez hier …
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« Je vous aimais, je vous aime et je vous aimerai … »
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Je vous ai reçu, dès mon plus jeune âge comme un cadeau, un héritage maternel … Je vous aime pour Elle autant que pour moi (embrassez la quand vous la verrez, s’il vous plaît) …
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L’Amitié m’a encore plus fort rappochée de Vous … Mon Z’Eric vous attend déjà là-haut, bras et coeur grand ouverts
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Et surtout soyez rassuré, J’AI, nous avons entendu vos dernières pensées …. Mais, je n’étais pas prête, moi 😞
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Oui au revoir Monsieur Cohen 😥
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Nous sommes de nombreux orphelins …
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j’écoute mes vinyls, mes cassettes, mes CD, et autres bidules, depuis hier soir
je revois ma vie, toutes les fois où il nous a apaisés, bercés, réconfortés, charmés souvent…
sa voie ne s’éteindra pour moi que lorsque je fermerai mes yeux pour toujours
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Merci Fernan pour ces mots …. il nous laisse tellement …
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Merci pour ce vibrant hommage !
http://www.leonardcohen.com
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Oh merci Louis …
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❤️
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A reblogué ceci sur rerereblogueret a ajouté:
Una gran voz y una gran perdida.
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🙏🏻
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Une grande voix et une grande perte.
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LETTRES DE PANDORA « 5 »
Ce matin Pandora
s’il-te-plaît boucle-là
au nom de tout, pour tout le rien qui s’étale à la hune…
Allez loup ya, Pandora, remballe ta boîte à malices, avec tes certitudes nouées à tes doutes, tes affirmations biffées de ratures, tes engagements désertés, c’te berceuse à mitraille, les serments de la trahison, tout le panel de l’imposture en baise-position, le blanc plus noir que mort-né mis en pro jet. L’haut-le-coeur de l’hypocrisie quand du vomi jaillit de mes narines d’avoir qu’à repousser les couleuvres de promesses rampantes faites par intérêt…
J’veux qu’Léonard soit tout seul à dire
que la vie c’est plus fort que la mort
Alléluia
Il paraît qu’un accord mystérieux
Que jouait David plaisait à Dieu
Mais la musique ne t’intéresse pas, n’est-ce pas ?
Ça fait comme ça :
La quarte, la quinte,
Le mineur tombe, le majeur monte,
Le roi surpris composant Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Tu voulais des preuves malgré ta foi.
Quand elle se baigna sur le toit
Sa beauté au clair de lune te subjugua
A un tabouret elle te lia
Ton trône brisa, tes cheveux coupa,
Et de tes lèvres tira cet Alléluia
Je suis déjà venu m’étendre
Et j’ai marché dans cette chambre.
Car je vivais seul avant de te connaître.
Sur le porche j’ai vu ton fanal.
L’amour n’est pas marche triomphale.
C’est un froid et c’est un meurtri Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Jadis, tu ne me cachais pas
Ce qui se passe ici en bas,
Mais maintenant ce n’est plus le cas, n’est-ce pas ?
Souviens toi, lorsqu’en toi j’entrais
De même la colombe sacrée
Chacun de nos râles était Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Tu dis qu’en vain j’ai pris le nom
Mais je ne connais pas le nom
Et puis, qu’est-ce que ça peut te faire, au fond ?
Dans chaque mot brille une flamme
Et qu’importe que l’on proclame
Le sacré ou le meurtri Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
A faire de mon mieux j’ai cherché
Ne pouvant sentir, j’ai touché
Je t’ai dit vrai : je n’suis pas venu tricher.
Tout est allé mal et pourtant
Je viens devant le Dieu du Chant
Sans rien d’autre à mes lèvres que Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia, Alléluia
Alléluia
Et qu’on pour qu’on
Alléluia
on ne pleure pas que de ce qu’on reste indifférent
mais qu’on chante
Alléluia
tout l’espoir qu’au delà de tout on porte en soi !!!
So long Léonard
Niala-Loisobleu – 11 Novembre 2016
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Merci ….
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À ce jour, les causes de son décès ne sont pas encore connues mais l’artiste souffrait depuis des années de problèmes physiques. En juillet dernier, c’est la disparition de «la femme de sa vie», Marianne Ihlen qui l’accablait. Elle était sa muse, source d’inspiration de bon nombre de ses morceaux.
Lorsque Leonard Cohen a pris connaissance de son état de santé, il lui a immédiatement écrit une lettre. Une dernière déclaration, dévoilée par le réalisateur et ami commun, Jan Christian Mollestad.
«Marianne, le temps où nous sommes si vieux et où nos corps s’effondrent est venu, et je pense que je vais te suivre très bientôt. Sache que je suis si près derrière toi que si tu tends la main, je pense que tu pourras atteindre la mienne. Tu sais que je t’ai toujours aimée pour ta beauté et ta sagesse, je n’ai pas besoin d’en dire plus à ce sujet car tu sais déjà tout cela. Maintenant, je veux seulement te souhaiter un très bon voyage. Adieu, ma vieille amie. Mon amour éternel, nous nous reverrons.»
Marianne Ihlen est décédée deux jours après avoir reçu cette lettre. Et son vieil amoureux n’aura donc pas attendu longtemps avant de la rejoindre.
D’Août de cette année où elle est partie, en Novembre il l’a rejoint…Qu’ils s’aiment à jamais, Alleéluia !
N-L
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Oui, j’avais lu il y a quelque temps ce passage, au moment du décès de Marianne …
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Merci 🙏🏻
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Merci ❤️
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